2007-01-16
Santé
Un bon oreiller : la clé d’une bonne nuit de sommeil
Dormir avec un bon oreiller est non seulement essentiel à une bonne nuit de sommeil mais peut également prévenir les épaules endolories et les raideurs du cou.
hoisir ? Tout dépend de la position dans laquelle vous dormez habituellement. Voici quelques points à considérer.
Par Lucie Gélinas
Si notre posture au lit est inadéquate, les muscles enveloppant la colonne vertébrale et principalement ceux de la région cervicale restent tendus au lieu de se détendre.
Comment choisir un bon oreiller
Aucun oreiller n’est parfait sauf celui qui est confortable pour vous. Un soutien ferme peut vous convenir mais votre conjoint peut préférer un support léger. Tout est question de confort. Avant de choisir, voici des points à surveiller :
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Un bon oreiller doit être ferme et reprendre rapidement sa forme quand on le plie.
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Il est de bonne taille, c’est-à-dire pas trop grand, ce qui peut entraîner une flexion anormale du cou et des spasmes musculaires.
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Si on dort sur le côté, on choisit un support de ferme à mi-ferme.
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Si on dort sur le dos, un soutien ferme à très ferme est conseillé.
On ne dort jamais sur le ventre, très mauvaise position pour la colonne vertébrale, souvent synonyme de douleurs au niveau des lombaires et des cervicales.
Santé2
7 facteurs qui influencent la santé
Une saine alimentation
On ne le dira jamais trop, bien s’alimenter est d’une importance capitale pour notre bien-être physique et mental. Un régime sain et la prise de suppléments si besoin peuvent nous aider à freiner le vieillissement, à bien traverser les étapes de la vie, à repousser la maladie et à nous donner la vitalité nécessaire. Car ce que nous mangeons affecte chaque cellule de notre corps : des hormones aux os, des nerfs à la peau, des enzymes aux muscles. Et plus nous avançons en âge, plus ce que nous absorbons prend une importance croissante.
De l’activité physique régulière
Aucun médicament ne renferme autant de promesses de santé qu’un programme d’activité physique soutenue. C’est en dépensant de l’énergie qu’on fabrique de l’énergie, qu’on retrouve la forme. En ce sens, la sueur est une bonne chose. L’exercice est aussi nécessaire à notre santé et à notre bien-être qu’une bonne alimentation. En fait, c’est un facteur plus déterminant pour la santé et la vitalité que l’âge réel. L’exercice est le meilleur masque de beauté, le meilleur somnifère, le meilleur tranquillisant, le meilleur antidote à la fatigue chronique. Et il permet en prime de contrôler son poids.
Maintenir un poids santé
Il n’y a qu’une seule recette, mais elle a fait ses preuves : il faut combiner meilleure alimentation et exercice physique régulier. Oublions les régimes draconiens et brûlons les calories par l’exercice. L’objectif n’est pas de devenir mince à tout prix mais de couper les sucres et les graisses en les remplaçant par des fruits et des légumes frais en abondance, des produits laitiers maigres, et de bonnes fibres.
Ne pas fumer
La cigarette représente le risque le plus important associé aux maladies du cœur et à plusieurs formes de cancer. Le tabac nous appauvrit en éléments nutritifs importants; c’est aussi un oxydant puissant qui accélère le processus du vieillissement causant la sclérose des tissus et le durcissement des vaisseaux. Il a aussi pour effet d’augmenter les graisses du sang, affectant ainsi tout le système circulatoire. Par bonheur, la santé s’améliore dès qu’on cesse de fumer.
Limiter la consommation d’alcool
L’excès d’alcool est générateur de stress, il nous fait perdre vitamines et minéraux essentiels. Source de calories, il ne possède aucune valeur nutritive, à l’exception du vin et de la bière. L’alcool augmente les graisses et le sucre dans le sang, il surcharge le tube digestif, les reins et surtout le foie. C’est un facteur de risque dans les affections cardiaques, les cancers et les diabètes. Consommé avec modération, c’est-à-dire 1 ou 2 verres par jour, il a cependant des effets bénéfiques.
Éviter le stress
Il est important d’apprendre à gérer son stress ou d’en limiter les sources. Il existe plusieurs moyens comme apprendre à dire non,
apprécier ce qu’on possède et renoncer à être parfaite sur toute la ligne. Encore là, les meilleurs tranquillisants naturels se retrouvent dans l’exercice physique et un bon mode de vie.
Dormir suffisamment
Le repos est essentiel à la santé physique et psychique. La quantité de sommeil dont nous avons besoin est une affaire personnelle mais nous avons toutes besoin d’un bon sommeil réparateur pour fonctionner adéquatement. Si vous dormez moins une nuit, rattrapez le plus rapidement possible le sommeil perdu. Une bonne nuit de sommeil aide à apaiser le stress et à maximiser le niveau d’énergie. Nous sentons moins la fatigue et avons plus de vitalité.
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SANTÉ
Les tests méédicaux de dépistage
La prévention, c’est la santé. Nous savons qu’il est important, à partir d’un certain âge, de subir certains tests pour vérifier si tout va bien. Mais à quel âge faut-il commencer? La plupart des examens que nous vous suggérons sont recommandés par les organismes et spécialistes de la santé. Notre but n’est pas de nous substituer à votre médecin, qui est le mieux placé pour vous recommander ou non un examen, mais de vous offrir une vue d’ensemble de ces tests.
Entre 20 et 39 ans
Chaque mois
Auto-examen des seins (F);
Auto-examen de la peau pour détecter tout changement (un grain de beauté qui change d’aspect, par exemple) (H, F);
Auto-examen des testicules (H).
Chaque année
Examen pelvien et test Pap : si les deux premiers tests Pap ne montrent aucune anomalie les deux premières années, vous devriez repasser un test de dépistage tous les trois ans, jusqu’à 69 ans, à moins que votre médecin vous le propose annuellement (F).
Aux deux ans
Une prise de la tension artérielle (H, F).
Au besoin
Un test HIV si vous êtes à risque (H, F)
Un examen de la vue entre la puberté et 40 ans (H, F).
Entre 40 et 49 ans
Chaque mois
Auto-examen des seins (F) et de la peau (H, F);
Auto-examen des testicules (H).
Chaque année
Bilan de santé incluant une mesure de la tension artérielle, une analyse sanguine (cholestérol, diabète, thyroïde) et une analyse d’urine (H, F);
Examen pelvien et test Pap (F);
Examen clinique des seins (F) et de la peau (H, F).
À discuter avec votre médecin : examen rectoscopique pour détecter les cancers du côlon et du rectum. Au besoin, votre médecin pourra recommander, surtout si vous êtes à risque, un toucher rectal et un hémocult (recherche de sang dans les selles). (H,F)
Aux deux ans
Mammographie (F);
Test de dépistage de l’ostéoporose (F);
Examen complet de la vue avec dépistage de glaucome (H, F).
Au besoin
Un test HIV si vous êtes à risque (H, F).
50 ans et plus
C’est au cours de la cinquantaine que se manifestent chez les femmes plusieurs changements physiques et psychologiques engendrés par la ménopause. C’est aussi durant cette décennie que les risques de maladies s’accroissent tant chez les hommes que chez les femmes. D’où l’importance de prévenir par les examens que vous recommandera votre médecin.
Chaque moisAuto-examen des seins (F) et de la peau (H, F);
Auto-examen des testicules (H).
Chaque année
Examen clinique des seins (F) et de la peau (H, F);
Toucher rectal (H, F);
Hémocult (recherche de sang dans les selles) (H, F);
Examen pelvien et test Pap (F);
Bilan général incluant la prise de tension artérielle, une analyse sanguine et une analyse d’urine (H, F);
* Test de l’APS (antigène prostatique spécifique) (H)
* Les hommes de plus de 50 ans devraient discuter avec leur médecin des avantages et des inconvénients de procéder au dépistage précoce du cancer de la prostate au moyen du test de l'APS et du toucher rectal.
Aux deux ans
Test de dépistage de l’ostéoporose (H, F);
Mammographie (F);
Examen complet de la vue avec dépistage de glaucome, aux deux ans ou annuel, si 65 ans et plus (H, F)
Votre médecin vous donnera tous les renseignements à propos de la mammographie, du test Pap, de l'examen des seins, de l'examen des testicules et du dépistage du cancer de la prostate. Hommes et femmes devraient se renseigner sur le dépistage des cancers du côlon et du rectum. N’attendez pas pour consulter votre médecin si vous constatez un changement dans votre état de santéabituel ou si vous remarquez des symptômes anormaux.
Société canadienne du cancer
Conseil des médecins du Québec
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Vous déclarer malade ou aller travailler ?
Certains matins, on se demande si on doit aller travailler ou s'il vaut mieux rester à la maison pour éviter de contaminer les autres. Votre mal est-il contagieux ? Voici des indices à surveiller.
Par Sophie Langlais
Nez bouché, congestionnée ?
Un rhume banal affectera tout de même votre concentration à cause du mal de tête et de la difficulté à bien respirer. Si en plus vous vous sentez somnolente parce que vous avez pris des médicaments, vous risquez de commettre des erreurs au travail, de bailler au nez de vos collègues et de vous sentir bien mal en point. Même si ce n’est qu’un rhume banal, vous feriez mieux de vous déclarer malade.
Nausée, vomissement, diarrhée
Si vous pouvez garder de la nourriture, vous pouvez aller travailler.
Entorse, foulure à la cheville
Allez au bureau si vous travaillez à l’ordinateur toute la journée. Mais si vous travaillez debout, votre blessure aura tendance à enfler; dans ce cas, attendez jusqu'à ce que vous puissiez marcher plus facilement.
Mal de tête, migraine
Si vous ne pouvez tolérer le bruit ou la lumière, c’est sans doute une migraine; vous ne devriez pas être au travail.
Éruption cutanée
Vous avez été en contact avec une substance qui a provoqué l’apparition de boutons qui piquent. Ça ne devrait pas vous empêcher d’aller travailler à moins d’avoir les yeux gonflés. Cette éruption n’est pas contagieuse et vous ne pouvez la transmettre à quiconque.
Douleurs aux sinus
Les douleurs autour des yeux, au dessus du front, en haut des pommettes ou même aux mâchoires peuvent être les signes d’une sinusite mais ce pourrait aussi être un rhume banal. En cas de doute, consultez votre médecin pour voir s’il y a lieu de vous faire prescrire des antibiotiques.
La toux
Si vous avez la gorge qui pique ou le nez qui coule, votre toux peut provenir d’une allergie ou d’un rhume. À moins de ressentir d’autres symptômes comme les courbatures ou la fièvre, vous pouvez aller travailler.
La fièvre
Quand vous faites de la fièvre, restez à la maison, vous êtes contagieuse. C’est probablement la grippe ou un rhume. Quoi qu’il en soit, restez chez vous jusqu’à ce que vous vous sentiez mieux et que la fièvre cesse.
Le nez qui coule
Si vous n’avez ni douleur ni fièvre, c’est sans doute bénin. Vous pouvez dans ce cas aller travailler.
Web MD
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Sujet: la santé sur le site WEBMD 
Mar 16 Jan - 21:07
